Je vous partage, dans ce post, les résultats d’une étude menée dans le cadre de mon diplôme universitaire en bioélectrophotonique. J’étais tout simplement curieux de pouvoir mesurer l’impact de certaines thérapies, utilisant les fréquences, sur le niveau de stress. Egalement, l’homme, en essence, étant un être vibratoire, j’ai souhaité mesurer les bénéfices du magnétisme, prodigués par un thérapeute expérimenté, sur l’état de stress de ses patients.
Quand nous évoquons le stress, de quoi parlons-nous exactement ?
Le stress physiologique
Le stress chronique est, de nos jours, un problème de santé majeur à l’origine de multiples maux allant du mal être psychologique aux pathologies et maladies de civilisation. A l’origine le stress est un ensemble de réponses mobilisées par un stimulus environnemental. Selon la définition du médecin Hongrois Hans Selye (1936) le stress physiologique est la réponse d’un organisme vivant à une agression du milieu extérieur. Au niveau cellulaire, il est même vital car tous nos processus adaptatifs, immunitaires ou de production d’énergie dans la chaîne respiratoire mitochondriale génèrent du stress oxydant par les radicaux libres (ERO). Ces ERO sont souvent considérés comme les responsables du vieillissement cellulaire.
Le stress environnemental
Il est vrai que nous sommes exposés à de nombreux polluants en évoluant au sein de notre environnement tels que l’excès de soleil, la pollution de l’air (tabac, activités industrielles, automobiles etc.), la pollution électromagnétique, les perturbateurs endocriniens (bisphénol A ou S, PET), les métaux lourds (arsenic, chrome, mercure, cadmium, plomb, nickel etc.) et autres pesticides ou fongicides. Les altérations induites sur le microbiote, au niveau épigénétique et sur l’ADN sont sans précédent. Les maladies de civilisations et neurodégénératives comme Alzheimer, Sclérose en plaque et auto-immunes explosent depuis ces 50 dernières années. Notre mode de vie influence de manière considérable notre biologie. A juste titre, la notion d’ « exposome » proposée en 2005 par le Dr. Christopher Wild, épidémiologiste et ancien directeur du CIRC (centre de recherche internationale sur le cancer), englobe la totalité des expositions environnementales auxquelles un individu est soumis, de sa conception à sa mort, et qui peuvent influencer sa santé1. Pourtant les ERO sont le moyen de stimuler la mitohormèse et sans eux il n’y aurait pas d’adaptations tissulaires. Ils reflètent donc l’état de stimulation du corps dans la régulation de ses processus homéostasiques. L’excès d’ERO témoigne juste d’une tentative de notre biologie de faire face aux agressions.
Le stress émotionnel
Pourtant ce stress physiologique n’est pas le premier évoqué dans le sens commun comparativement aux perceptions émotionnelles qu’il génère. En effet l’Homme ne peut être perçu comme un simple corps de matière. Les différentes dimensions de son existence influencent considérablement ses capacités de résilience face à divers évènements de vie : la qualité de ses relations, ses valeurs personnelles, la gestion de ses émotions, sa spiritualité. Mon expérience de thérapeute m’a montré que de nombreuses personnes sont en recherche de sens et de cohérence dans leur vie. Le stress est souvent défini dans ce cadre comme un tiraillement intérieur entre des principes qui s’opposent comme par exemple : lâcher/tenir, expression/retenue, clan familial/individualité, intuition/réflexion, dépendance/autonomie etc. Cela crée une tension qui revient à vouloir « accélérer » tout en « freinant » ou inversement. De plus certaines blessures et traumatismes peuvent venir faire le lit de comportements réactionnels inconfortables. Personne n’est véritablement épargné par le stress mais la manière de le gérer diffère (intensité, durée, chronicité, ressources individuelles).
Le neuropsychiatre Stephen Porges explique très bien par sa théorie polyvagale comment nos états de chaque jour sont rythmés par notre système nerveux autonome (parasympathique et orthosympathique). Ce dernier a pour fonction de nous protéger en évaluant les risques qui nous entourent, aussi bien dans nos interactions avec les autres que dans notre environnement mais parfois il peut se déséquilibrer ce qui peut se traduire par des comportements anxieux, de l’isolement, de l’irritabilité ou encore de l’hypervigilance. Les impacts du stress sur les intrications entre notre système nerveux, système hormonal, microbiote, immunité et épigénétique sont aujourd’hui bien établis2,3,4,5,6,7,8,9. C’est donc un point essentiel à considérer dans toute démarche thérapeutique.
Le stress énergétique
De nombreuses thérapies proposent, de nos jours, des traitements fréquentiels et informationnels10,11,12,13. Cette nouvelle vision nous amène aujourd’hui à considérer le stress et les pathologies d’un point de vue énergétique. La technologie EPI/GDV permet de quantifier le niveau de stress énergétique d’un patient. Ce niveau d’énergie reflète l’état général du patient, aussi bien d’un point de vu physiologique que psycho-émotionnel sans pouvoir en distinguer avec précision leurs niveaux d’influence respectifs. Avoir conscience que chacune de nos pensées, et de nos émotions, portent des fréquences qui rentrent en résonance avec notre champ énergétique et l’affecte, est fondamental pour savoir préserver sa propre santé. Ces fréquences rayonnent autour de nous et peuvent soit être cohérentes ou, au contraire, discordantes et entraver le bon fonctionnement de la circulation de l’énergie dans l’organisme. L’énergie de guérison humaine et les technologies fréquentielles peuvent activer la capacité innée d’auto guérison du corps en réharmonisant ses informations.
L’ensemble des outils proposés, dans le cadre de cette étude, est utilisé en cabinet, dont le système BioCor. Ainsi, il fut intéressant de mesurer concrètement l’impact de ces technologies seules et sans intervention humaine puisqu’elles ont toujours été utilisées en soutien lors d’un soin en cabinet. Pour ces raisons, il était difficile de connaître leur degré d’influence de manière isolé. L’avantage de ces technologies est leur emploi domestique facile d’accès pour tout public. Cela peut présenter un intérêt certain quant à l’autonomie dans la prise en charge de sa propre santé, de la gestion de son stress, ou bien encore pour optimiser la récupération chez un sportif et le soutenir dans sa préparation mentale avant une compétition. Au travers de cette étude, il y a eu une volonté de démocratiser ces technologies souvent peu connues d’un public non averti.
Les études de la littérature ayant utilisé les technologies à base de sons binauraux et/ou d’ondes millimétriques ont démontré également des résultats significatifs dans la réduction du stress14,15,16,17. Notamment, l’étude ci-dessous, du Pr. Korotkov, qui vient corroborer l’efficacité de l’action combinée de la musique et de la thérapie par fréquences.

La comparaison du coefficient de stress, avant et après l’intervention, est réalisée sur 30 participants chez les hommes et 25 chez les femmes. Les résultats sont randomisés selon le degré d’augmentation et comparés aux résultats des mêmes participants après la thérapie (1 – initial, 2 – après la thérapie). Aussi bien chez les hommes que chez les femmes, le niveau de stress est significativement moins important après le traitement BioCor.
Résumé de l’étude
De manière analogue, mon étude propose d’objectiver et de mesurer, au moyen de l’EPI/GDV, l’impact de diverses technologies et méthodes utilisant les fréquences et l’information sous divers formats (électromagnétique, sonore, lumineux, magnétisme et pensées humaines) et, pouvant être utilisées dans la régulation du stress. L’étude respecte les standards de la méthodologie scientifique avec un fort niveau de preuve, c’est-à-dire qu’il s’agit d’un essai contrôlé (comparaison des mesures du groupe d’intervention avec un groupe témoin) et randomisé en double aveugle. En principe, le respect de ces conditions permet d’obtenir les mesures les plus cohérentes possible tout en évitant les biais et les facteurs de confusion. Les cohortes sont, certes, de petite taille mais les résultats obtenus confortent ceux des autres études citées plus haut.
Résumé :
Objectifs : Cette étude propose d’objectiver et de mesurer l’impact d’une combinaison de technologies et méthodes utilisant les fréquences et l’information sous divers formats (son, lumière, eau, intentions humaines) et pouvant être utilisées dans le but de réduire le stress chez l’homme. La vocation seconde est de promouvoir, au sein du grand public, l’accessibilité et les bienfaits des outils, méthodes et thérapies basés sur l’information et l’énergie dans un but préventif en matière de santé.
Conception : Essai contrôlé et randomisé en double aveugle (ECR). La technologie EPI/GDV Bio-Well a permis d’étudier l’effet d’un traitement basé sur la musique, la lumière, l’eau et les fréquences pendant 10 minutes sur le niveau d’anxiété humaine d’un groupe de 11 participants (INTERV) par rapport à 11 participants (CTLR) se reposant pendant 10 minutes. A été intégrée en comparaison de l’ECR une cohorte externe de 10 participants (MAGNET) pour évaluer les bienfaits de l’énergie de guérison humaine sur le niveau de stress chez l’homme.
Méthode : 2 mesures (sans filtre) Bio-Well ont été réalisées avant le traitement pour tous les groupes. Dans le cadre de l’ECR, le protocole du groupe expérimental était basé sur une combinaison de solutions thérapeutiques comme suit : système BioCor de la marque Bio-Well (modulation sonore et EHF), diffuseur chromo-thérapeutique OPPH à LED 10W, un verre d’eau dynamisé et informé par les intentions du participant et le système de transduction BioCor. Le groupe témoin a bénéficié du même temps de relaxation en écoutant une bande sonore de musique douce avec un casque audio conventionnel et a bu un verre d’eau minérale classique. Le groupe, magnétisé par le thérapeute, a bénéficié d’une séance de 45min, dont 10min de magnétisme par les mains. 2 mesures (sans filtre) ont été reprises après le traitement pour tous les groupes.
Résultats : Respectivement, il a été constaté une baisse du niveau de stress chez 64% des participants du groupe CTRL (7/11) contre 91% dans le groupe INTERV (10/11) et 100% dans le groupe MAGNET (10/10). Chez tous les participants dont le stress a diminué après le traitement, seuls les groupes INTERV (n=10) et MAGNET (n=10) ont confirmé une baisse significative (p < 0.05) du coefficient de Stress ; respectivement p = 0.045 ; p = 0.028 ; comparativement au groupe CTRL où il n’y a pas eu de baisse significative ; p = 0,22. En parallèle une amélioration de l’énergie globale et des chakras ainsi qu’un meilleur alignement psycho-émotionnel étaient constatés dans les groupes INTERV et MAGNET mais pas le groupe CTRL.
Conclusion : Les technologies et méthodes informationnelles et fréquentielles proposées ont permis de réduire le niveau de stress de manière significative chez 91% des participants qui ont bénéficié de ce traitement. L’énergie de guérison humaine s’est avérée efficace à 100% sur la réduction du stress chez l’homme. D’autres études doivent être menées sur des périodes de traitement plus longues avec des cohortes plus importantes pour conforter ces résultats.
L’étude complète est accessible en téléchargement en cliquant sur le bouton ci-dessous.
Bonne lecture.

AUTEUR : Frédéric Broussard
Fondateur
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