Cette 3ème partie vient clôturer notre aventure au cœur de la communication cellulaire. Vous pouvez retrouver les deux autres articles ici : « L’Homme biotensègre », « L’Homme cristallin ». Ces trois courts articles présentent l’homme sous un aspect peu conventionnel, mais pourtant bien réel, si l’on envisage d’intégrer de multiples champs disciplinaires au sein des sciences. L’objectif est de vous sensibiliser à un cadre de pensée beaucoup plus large, bien au-delà de la pensée strictement matérialiste faisant office de dogme à tous les échelons de notre société, et par conséquent notre vision de la santé. J’entends par « pensée matérialiste », celle qui ne jure que par l’existence du « tout matière » sans réellement en comprendre les intéractions avec l’information et l’énergie dans l’univers. Ainsi, je suis heureux de vous présenter ces trois articles introductifs afin d’inaugurer la catégorie relative aux facettes multidimensionnelles de l’Homme. De nombreux points techniques ne seront pas approfondis volontairement, laissant peut-être certains d’entre-vous sur votre faim… Rassurez-vous, nous aurons tout le loisir pour le faire dans de prochains articles dédiés. Je vous souhaite une bonne lecture.
L’homme est composé de 96% d’eau
Depuis ces 20 dernières années, la nouvelle science de l’eau nous éclaire et nous permet d’approfondir notre compréhension des mécanismes de régulation énergétique et des propriétés optiques de ces nanostructures cristallines. L’eau est, en effet, l’élément majeur intervenant à la fois dans le changement du flux d’énergie et dans le traitement de l’information, le fondement matériel de la vie elle-même. Il y plus de 2500 ans Thalès of Milet (6ème siècle av. J.C.), le fondateur de la philosophie Européenne disait que l’eau était le principe de toute chose : « toute chose est créée par l’eau et toutes les choses retournent à l’eau ». Il n’était pas satisfait par l’approche de la nature de son époque où toutes les choses n’étaient pas considérées comme connectées entre elles. Lui pensait que les lois de la nature étaient basées sur des principes unificateurs. Il est vrai qu’aucune matière vivante ne peut exister sans l’eau et ce n’est pas un hasard si c’est la substance la plus importante dans notre corps avec en moyenne chez un adulte 60% d’eau en masse molaire (40% en masse de minéraux, protéines, lipides). Mais cette quantité d’eau varie en fonction de l’âge. Le nouveau-né, lui, en contient 80% alors que la personne âgée 50%. Cependant d’un point de vue topologique, les molécules d’eau constituent 96% de l’ensemble des molécules et des ions dans pratiquement toutes les parties du corps de tout être vivant.
L’eau interfaciale ou morphogénique : un quatrième état de l’eau
Il existe cependant plusieurs formes d’eau telles que l’eau interfaciale, dite aussi morphogénique par le Pr. Marc Henry, où les molécules sont structurées et ordonnées contrairement à l’eau en vrac de nature chaotique1,2,3. C’est le chimiste Gérald Pollack qui présenta en 2013, le 4ème état de l’eau appelé « eau EZ » (pour zone d’exclusion) car tous les solutés y sont exclus4.
C’est de l’eau pure qui hydrate les surfaces hydrophiles sous forme de gel sur quelques centaines de microns, d’où son appellation « interfaciale ». Il a été décrété que c’était un nouvel état agrégé de l’eau avec des propriétés bien différentes de l’eau au-delà de l’état solide, liquide ou vapeur. Ainsi la majorité de l’eau qui compose notre corps à 96% est essentiellement sous cette forme de gel semi-cristallin. En guise d’exemple, une tomate coupée en deux ne laisse échapper que très peu d’eau par rapport à la quantité qui la constitue. Sa pulpe, sous forme gélifiée, est de l’eau EZ. Toutes les surfaces hydrophiles, telles que l’ADN, le cytosquelette, les membranes des cellules, des mitochondries mais aussi toutes les fibres de la matrice extracellulaire, l’acide hyaluronique (peau, synovie), les tissus conjonctifs et fascias, sont majoritairement composées d’eau gélifiée sous forme de cristaux liquides quasi-polymériques et cohérents. Cela leur confère des propriétés quantiques pouvant rentrer en résonance avec de multiples champs d’informations (vide quantique notamment).
L’eau interfaciale : une batterie d’énergie vivante
Une des propriétés les plus importantes de l’eau EZ est que les électrons sont dans un état excité. Cette eau est, la plupart du temps, chargée négativement car elle contient des électrons quasi libres alors que l’eau en vrac contient des protons en excès et est chargée positivement. La différence de potentiel entre ces 2 eaux peut atteindre 150 mV et pourrait permettre de charger nos smartphones4. Cette séparation de charge (dissociation de l’eau) agit comme une véritable batterie d’énergie.
La quantité d’électrons de charge négative stockée dans l’eau EZ correspond à des réserves d’énergie potentielle mobilisable par les cellules. La combustion (transfert d’électrons) d’eau EZ finement organisée, passant d’un état d’eau structurée à un état chaotique, va libérer cette énergie en flux continu selon les besoins.
De bonnes réserves d’eau EZ garantissent une santé optimale. Au contraire, de faibles réserves initiales d’eau EZ ou une combustion supérieure à la recharge d’eau structurée diminueront les capacités de régulation et d’adaptation de l’organisme. Si l’affaiblissement des réserves perdure, des troubles fonctionnels apparaîtront comme prémisse d’une future pathologie. Cette libération d’énergie augmente l’entropie du système. Il aura besoin de se recharger pour retrouver sa cohérence en libérant son excédent d’entropie. Il lui faut donc capter de l’énergie pour séparer les charges. Mais alors, d’où vient cette énergie ? Gérald Pollack et son équipe ont vérifié expérimentalement que la lumière était le principal carburant pour structurer l’eau. La lumière visible est très efficace et plus encore les infrarouges autour de 3000 nm qui augmentent considérablement la taille de la bande EZ4. Le Pr. Vladimir Voeikov, biophysicien Russe et l’un des principaux leaders dans le domaine émergent de la « science de l’eau », corrobore les travaux de G. Pollack. Il décrit l’eau EZ (eau structurée) comme un combustible capable de libérer de l’énergie. D’ailleurs, l’inventeur américain John Kansius, un ingénieur spécialisé dans la radio et la télévision, a aussi montré que l’eau salée pouvait « brûler ». En exposant de l’eau de mer à l’influence des ondes radios (13.56 MHz à 200-400W), elle se dissocie. Cela permet à l’hydrogène de se combiner aux atomes d’oxygène créant une température de flamme supérieure à 1500 °C. L’expérience ne fonctionne pas avec de l’eau distillée, car elle ne possède aucun électrolyte permettant de la structurer (création d’une bande d’exclusion).
D’autres études récentes montrent que la lumière et l’énergie cosmique favorisent la formation d’eau structurée qui, à son tour, favorise les fonctions biologiques (production d’ATP, stimulation de l’hormèse mitochondriale)5,6. La photobiomodulation consiste d’ailleurs à utiliser l’énergie issue des photons, à l’instar de la photosynthèse, pour fabriquer de l’énergie et optimiser les voies de signalisation intracellulaire et l’expression des gènes7,8. Elle consiste à stimuler via des ondes infrarouges et proche-infrarouges les cellules ou organites cellulaires qui apparaissent très sensibles à ces longueurs d’ondes spécifiques9. Les fibroblastes, cellules du tissu conjonctif, via leur cytochrome, sont des absorbeurs de photons ; mais également la mitochondrie, via son cytochrome C oxydase (complexe IV), une protéine de la chaîne respiratoire mitochondriale qui joue le rôle de photorécepteur d’autant plus sensible qu’existe au préalable un stress oxydatif important10,11. Les ERO (radicaux libres) véhiculés par la mitochondrie sont des messagers chimiques de l’information. Ils agissent en tant que vecteurs adaptatifs, c’est-à-dire comme un moyen et non une finalité pour la communication et la régulation de la réponse cellulaire. S’intéresser en amont à l’information subtile à l’origine de la problématique est donc primordial dans le cadre des thérapies énergétiques.
La bioélectrophotonique au service du rééquilibre énergétique
L’analyse des champs d’énergie avec la technologie EPI/GDV (onglet Prestations) se révèle être tout à fait performante pour ramener le corps à un état vibratoire de santé, avant qu’il ne manifeste des symptômes, en proposant des remèdes. Les remèdes peuvent être testés par biorésonance énergétique afin d’apporter une information adéquate aux cellules12. Egalement, il est possible d’informer l’eau grâce à des transferts d’infoceutiques ou encore de la technologie BioCor (utilisée dans le cadre d’un rééquilibrage énergétique)13,14. Les distorsions du champ d’énergie sont corrigées et le corps retrouve ses propres capacités de guérison. A tout courant électronique dans les corps est associé un champ magnétique ce qui forme un champ électromagnétique lui-même composé de photons. Toutes ces particules sont aussi des ondes.
L’Homme est donc avant tout un être vibratoire et fréquentiel ce que les anciennes traditions et sagesses anciennes relataient. Force vitale (chi, prana) et méridiens d’énergie sont, tout simplement, des canaux qu’emprunte l’énergie pour circuler au sein d’un système « hardware » de cristaux liquides. Les méridiens ne sont donc pas associés à des structures particulières, comme les nerfs ou les artères, mais à l’ensemble des cellules qui communiquent entre elles par signaux oscillatoires, électromagnétiques, photoniques et informationnels. Ces canaux ont d’ailleurs été confirmés en médecine moderne par l’électro-acupuncture de Voll et la mise en évidence de zones de conductance sur la peau qui corroboraient les méridiens de la médecine traditionnelle chinoise. L’Homme est un système ouvert, loin de l’équilibre thermodynamique, et il échange en permanence des informations avec l’extérieur. Son biochamp est un complexe de champs d’émanation rayonnés par le corps en raison de son activité interne et de l’interaction avec son environnement.
Les biophotons : vecteurs informationnels cellulaires
Dès 1932, Harold Saxton Burr, Professeur d’anatomie à l’Université de Yale avait décrit l’existence d’un champ E.M. autour de tout organisme vivant15,16. Il a utilisé d’ailleurs ses découvertes à des fins prédictives de certains cancers. Dès 1923, l’échange de photons U.V. ultrafaibles entre des cellules physiquement séparées était déjà connu d’Alexander Gurwitsch17,18,19,20. Plus tard, dans les années 1980, le physicien Fritz Albert Popp de l’Université d’Heidelberg, les surnomma les « Biophotons » 21,22,23,24. Fait remarquable, ces biophotons sont émis au seuil laser. La distribution fréquentielle de ces biophotons est linéaire, c’est-à-dire que l’on trouve autant de basses fréquences IR que de hautes fréquences cellulaires UV. Cela a une haute signification biologique non due au hasard sinon la distribution serait en courbe de Gauss. En amont même donc de tous les processus biochimiques du vivant, se place la résonance photonique cellulaire. Par mécanisme de résonance électromagnétique, les biophotons activent les processus enzymatiques, les protéines réceptrices et les échanges informationnels intercellulaires. La biophysicienne Tiina Karu a confirmé ces travaux au sein des structures mitochondriales dès les années 200025–27. D’autres études plus récentes confirment la cohérence optique et quantique dans les microtubules du cytosquelette par analogie à la fibre optique haut débit28. Les microtubules (agissant comme des cavités électrodynamiques quantiques) peuvent avoir un comportement, appelé « superradiance », dans lequel l’excitation des sous-unités de tubuline conduit à l’émission stimulée de photons cohérents (effet laser)29,30.
L’eau morphogénique : support de l’information quantique
L’eau morphogénique, de par sa position autour de toutes membranes hydrophiles, contrôle tous ces mécanismes informationnels quantiques tel un gigantesque réseau Web31–33. En 1988, les recherches du biologiste Jacques Benveniste et simultanément ceux des physiciens Emilio del Giudice et Giuliano Preparata confirment que l’eau pourrait avoir une mémoire34,35,36. Récemment ceux du Pr. Luc Montagnier ont démontré expérimentalement que l’eau est une interface qui enregistre et émet des informations électromagnétiques et quantiques37–39. Selon le Pr. Marc Henry et d’autres scientifiques, l’eau serait l’interface idéale par sa dialectique permanente avec le vide quantique pour y expliquer les phénomènes liés à la conscience1,40–42.
« L’eau participe forcément à l’apparition de notre conscience, elle compte pour 96 % du nombre de molécules qui composent nos cellules. Il faut non seulement remettre l’eau au cœur du vivant mais au centre du débat sur la conscience. Si nous sommes faits essentiellement d’eau, celle-ci joue forcément un rôle dans l’émergence de nos capacités psychiques ». « Etant plein d’excitations virtuelles et contenant tous les possibles, le vide quantique est un bel endroit pour mettre la conscience. De plus, à partir du moment où nous sommes en communication avec le vide, nous sommes en lien avec tout l’univers, puisqu’il relie tout. » – Marc Henry
L’Homme baigne dans un champ d’énergie et d’informations qui entre et sort continuellement du corps. Cette information est fractale et holographique43–49 car chaque parcelle du corps physique et énergétique contient l’information de sa totalité, principe utilisé en EPI/GDV. L’intrication quantique nous dit également que l’information est non locale (théorie de micro-trous de vers ER=EPR)50–52. Les thérapies basées sur l’information, l’eau, la lumière, le son et les fréquences aussi bien technologiques et humaines seront, sans aucun doute, celles de demain.
AUTEUR : Frédéric Broussard
Fondateur
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