Continuons notre voyage dans l’espace de DodékâAIMES avec cette deuxième partie. Je vous souhaite un agréable plongeon dans l’univers des symboles et de la géométrie sacrée…
NB : Le terme Conscience avec un « C » majuscule est souvent employé. Cette signification n’est pas réduite à la seule connaissance immédiate de la propre activité psychique que ressentirait un individu à travers l’expérience de ses cinq sens. Ce terme définit une forme de conscience plus globale et relative à un état d’Être subtil et profond. Elle inclut l’intuition, l’inconscient, et les formes de consciences non locales en lien avec les différentes dimensions de l’Être et de l’Univers. Il en est de même pour le terme Univers avec un « U » majuscule reflétant un univers doué d’une intelligence. Egalement, l’Homme avec un grand « H » symbolise l’être humain dans toutes ses dimensions spirituelles et non seulement dans sa dimension animale.
Principes créateurs et géométrie sacrée
L’ADN de DodékâAIMES incarne pleinement les concepts partagés dans la première partie que je vous invite à lire : La philosophie de DodékâAIMES : « Une alchimie en Science et Spiritualité ». Découvrons, dès à présent, plus en profondeur, l’aspect symbolique qui se cache derrière DodékâAIMES, en laissant votre mental analytique de côté pour un instant… Par le mental, le Cosmos nous apparaît compliqué et dépourvu de sens ; par la Conscience du cœur, il nous apparaît complexe et pourvu d’un sens. La différence est subtile, je vous l’accorde… Si vous regardez bien le logo, vous verrez deux polygones – dodécaèdres – emboîtés l’un dans l’autre. Celui le plus externe représente le plan directeur, c’est le principe masculin structurant, l’impulsion initiale. Grâce au principe féminin, cette géométrie originelle se structure et se matérialise dans la forme, la densité et la couleur – les teintes allant du bleu cyan, en passant par le violet jusqu’au magenta sont en rapport avec l’expression, le sens et la conscience donnés aux expériences vécues, le lien et la cohérence avec l’Univers. Ainsi au-delà de notre monde matériel, existe un monde régi par des principes créateurs supérieurs. Toute vie porte en elle les germes de ces codes sacrés. C’est cela la véritable magie ; l’étincelle divine ! Des lois universelles découlent de ces principes pour garantir l’harmonie et l’expansion de la Vie partout dans l’Univers. Vivre en adéquation avec ces lois permet d’évoluer vers des plans de Consciences supérieurs.
Tous les êtres vivants sont donc bâtis sur des principes similaires à ceux du Cosmos. Le cœur d’un enfant est capable, naturellement, de ressentir ces vérités premières ! Ces principes sont-ils de nature mathématique et faut-il en conclure, comme les platoniciens, que cette réalité existerait distinctement de la nôtre ? Mario Livio, astrophysicien et directeur de recherche au Space Telescope Science Institute, présente dans son ouvrage « Dieu est-il mathématicien ? », la stupéfiante faculté des mathématiques à décrire notre réalité, que cela soit en rapport avec des phénomènes physiques, ou via la statistique à simuler des comportements humain. Comment cela se fait-il que des raisonnements abstraits, complétement étrangers à notre réalité, finissent toujours par trouver une application ? Pourtant l’Univers ne semble pas faire de calculs, ni faire d’équation ? Je vous propose d’entrevoir les termes physiques et mathématiques comme étant originellement de nature géométrique, tout simplement car l’harmonie EST une fonction intrinsèque de l’Univers. Son existence ne serait pas possible sans relations cohérentes, relations d’Amour en l’occurrence. La force de l’Amour ne peut pourtant pas être mis en équation ! Nos modèles permettraient, en quelque sorte, de formaliser les relations géométriques de l’Univers pour qu’elles nous paraissent intelligibles.
Toutefois, la compréhension intellectuelle ne suffit pas. C’est, avant tout, par une relation intuitive et sensitive avec cette géométrie que nous pourrons accéder à de nouveaux espaces de Conscience et de Cœur. C’est seulement dans le dialogue intérieur avec ces représentations que la géométrie devient sacrée. Nous pourrions la percevoir comme une voie initiatique, parmi tant d’autres, en unifiant l’Art en lien avec nos émotions, la Science en lien avec notre intellect et le Sacré en relation avec notre Cœur comme l’exprime si bien l’art-thérapeute Philippe Mariaud. C’est par l’expression de ces trois pôles, et non uniquement avec l’intellect mis au premier plan dans notre société, que se fait la connexion avec d’autres niveaux d’expérience. La restauration de ces trois pôles nous conduit à reconnaître l’unité de l’Univers. La géométrie devient par essence, Sacrée, à partir du moment où elle nous permet de prendre conscience du caractère sacré de la Vie, où elle nous enseigne à vivre en accord avec les lois universelles qui régissent la création et quand nous nous sentons unis à toutes les autres formes de vie. Cela est irrationnellement définissable ! C’est cette vibration émotionnelle, qui entrouvre le pont entre les mondes, que l’Homme a pour mission de restaurer en lui-même. Laissez-vous pénétrer par la puissance de votre Verbe intérieur à la lecture de ce court extrait du livre « Dialogue avec l’Ange » de Gitta Mallasz :
Cette brèche, cet abîme sombre qui a été, qui est, mais qui ne sera plus, est en toi aussi :
Le monde crée et le monde créateur
Entre les deux : l’abîme
Comprends bien !
Toi-même, tu es le pont
Tu ne peux pas désirer le rayonnement créateur, lorsque tu es le pont en toi-même. Cela t’est donné.
Le désir n’est pas le pont. Seule la foi est pont.
[…]
Grâce soit rendue à SA Sagesse infinie.
Que le petit Enfant franchisse l’abîme en souriant, car IL a caché aux sages ce qu’IL révèle aux petits Enfants que vous êtes.
Géométrie, nombre et symbolique
Voyons à présent en quoi le dodécaèdre symbolise et reflète l’âme de DodékâAIMES. Vous l’aurez déjà peut-être remarqué, mais en premier lieu, par la consonance entre « dodécaèdre » et « DodékâAIMES » ! Ensuite, « Dodéca » est un préfixe d’origine grecque signifiant douze (12) avec do (2) et déca (10). Nous verrons, plus loin, en quoi le nombre douze revêt une symbolique universelle. Pour finir, parce que c’est un solide Platonicien. Platon, dans l’une de ses œuvres les plus populaires, le Timée (env. 358 av. J.C), expose, par l’intermédiaire de figures géométriques élémentaires, une conception métaphorique de la cosmogénèse universelle. Notez que la plupart des anciennes civilisations utilisaient bien avant la symbolique géométrique pour favoriser l’éveil spirituel. Les traditions égyptiennes, védiques, hébraïques, mayas, kabbalistiques ont toujours représenté les réseaux énergétiques, dont celui du corps humain, par des ensembles géométriques. Citons pour exemple le Caducée ou encore l’arbre des Séphiroth. Les constructions Égyptiennes viennent aussi nous signifier que ces codes appartiennent à l’histoire de l’humanité. Dans la mythologie égyptienne, « Kâ » est relatif à l’esprit, l’élément constitutif de la personne représentant sa force vitale. De manière concrète, tous les schémas de création sont basés sur plusieurs combinaisons de quelques formes simples. L’architecture d’une image de synthèse permet de bien modéliser ce concept.
Les solides de Platon sont définis comme des polyèdres réguliers inscriptibles dans une sphère. Toutes les arêtes sont égales ainsi que les valeurs des angles intérieurs. Le dodécaèdre est le cinquième solide de Platon associé à l’élément « Ether ». Les quatre autres polyèdres sont respectivement associés aux éléments Feu pour le tétraèdre, Air pour l’octaèdre, Terre pour le Cube, et Eau pour l’icosaèdre. Ce qui est remarquable, c’est que les cinq polyèdres sacrés sont à la base de tous les schémas d’assemblage moléculaire bien connus en cristallographie et présents à toute échelle du vivant. Au niveau du plan créateur résident donc, pour Platon, des cellules-forme élémentaires associées aux cinq éléments premiers. Platon donnait au dodécaèdre une importance particulière comme l’élément qui aurait servi à Dieu pour composer l’arrangement final du tout.
Ce volume s’inscrit parfaitement dans une sphère virtuelle dont il rayonne les effets bénéfiques. La sphère est le symbole de la cellule, de la planète, du cosmos et donc du grand « Tout ».
Les cinq solides de Platons – Le Gardien du Lieu
Aujourd’hui, le cheminement des sciences et celui de nos philosophies ancestrales se croisent, se confondent et parfois se répondent. En effet, la nature du vide quantique, telle que présentée par les physiciens, n’est nullement vide mais modélisée par une mousse bouillonnante d’information discrétisée en petits paquets d’énergie. Ces quantas d’espace – ou paquets d’énergie fondamentaux – sont représentés par des cellules polyédriques. Ces polyèdres ne sont pas dans l’espace, ils sont l’Espace. Le quanta élémentaire, ou bit d’information, est décrit par le tétraèdre, le plus petit volume possible. La géométrie quantique dépeint une structure cristalline fondamentale, véritable toile où sont mémorisées toutes les informations relatives à la création de l’Univers. La matière serait donc originellement géométrique (plan créateur) avant même d’être quantique puis ensuite biologique (plan énergétique et vivant).
Les anciens sages avaient déjà pressenti ce concept bien avant notre physique. Ils savaient qu’une géométrie pouvait être encodée à des niveaux supérieurs de la réalité formelle. Pour eux, l’information pouvait être engrammée dans la matière à l’aide de de symboles, ou de volumes particuliers. L’objet devenait alors une clef pour accéder à une information subtilement protégée. Le niveau d’information décodé dépendait alors du niveau de Conscience de l’utilisateur qui entrait en relation avec l’objet. Peut-être que les différents récits et mythes relatant des fameux crânes et boules de cristal ont été inspirés de ces temps immémoriaux ? Sachez que notre technologie fonctionne sur ce principe. Pour exemple, les sons et les images sont encodés dans une onde électromagnétique servant de support de transmission, mais ces derniers ne sont pas eux-mêmes de nature électromagnétique. Des lettres écrites sur le sable pourraient très bien l’être sur de multiples autres supports, l’information demeurant inchangée. L’information n’est pas apparentée au support, elle existe à un niveau supérieur – on parle ici de modulation de fréquence pour une onde. Le niveau de résolution de l’information extraite du signal sera dépendante des caractéristiques techniques du décodeur qui la reçoit. Par analogie, l’Homme est le décodeur de sa propre géométrie sacrée. Sa capacité d’accès à l’information subtilement enchevêtrée en son sein dépendra de son ouverture de Conscience. Nous comprenons mieux, dans ce cadre, comment des thérapies basées sur l’information peuvent utiliser, parfois, certaines formes géométriques servant de support pour focaliser la Conscience et faciliter l’harmonisation de schémas inconscients et énergétique perturbés.
La symbolique des nombres
À présent, amusons-nous un peu avec les nombres. Le dodécaèdre est formé de douze pentagones égaux. Chaque pentagone possède cinq sommets. Symboliquement nous avons une première relation nous faisant passer du cinq vers le douze, ou dit autrement, l’Homme accédant à la Conscience de l’Univers. L’homme Terrien devient l’Homme Cosmique.
Le chiffre cinq
D’après les anciens, le chiffre cinq est relatif à l’harmonie, l’équilibre et la manifestation de l’Homme. L’Homme, pour devenir parfait, devrait développer, grâce à l’esprit, cinq vertus – sagesse, amour, vérité, justice, bonté – le menant à transcender sa condition animale (1 + 4 = esprit agissant sur la matière). La symbolique Platonicienne décrit aussi la prééminence de l’esprit sur la matérialité des 4 éléments (terre, feu, air, eau – l’éther étant le cinquième). L’Homme possède également cinq sens, cinq extensions du tronc (quatre membres et une tête ; 4 + 1 = quatre directions et un centre), cinq doigts dans chaque main et chaque pied. La structure des cinq éléments de la cosmologie chinoise, essaimée dans tout l’Orient, se base sur les cinq saisons, les cinq directions cardinales, les cinq organes et les cinq entrailles de la médecine orientale. DodékâAIMES est fondé également sur cinq principes représentés par ces cinq lettres : A ; I ; M ; E ; S. Nous les exposerons dans la troisième partie accessible ici : Les cinq principes de DodékâAIMES.
1- L’homme de Vitruve de Léonard de Vinci. Les extrémités du corps humain forment un pentagramme. 2-Les cinq principes de la médecine traditionnelle chinoise.
Le nombre douze
Le nombre douze, quant à lui, fait référence à l’unité, l’équilibre des forces cosmiques et à la notion de cycles universels. Chronologiquement ce nombre trouve ses origines dans l’Antiquité où il était un diviseur et inverse du système sexagésimal utilisé en Mésopotamie, en Inde et en Asie. Ce symbole a marqué différents mythes et cultures, notamment les douze divinités olympiennes (Dodekatheon), les douze apôtres du christianisme, les douze chevaliers de la table ronde, les douze constellations du zodiaque occidental. Ce système duodécimal est, à l’origine, de conception astrale. De nombreux cycles ont été découpés en douze parties. Citons les douze mois de l’année ou bien les douze heures de l’horloge. Le cercle, symbole d’un cycle en deux dimensions, naît d’un centre unique à équidistance de tous les points de sa périphérie. Le nombre douze nous ramène par conséquent à un centre universel, l’Univers étant le centre de toute Vie (3 x 4 = le ciel par la terre, la création en mouvement, le temps cyclique ; 4 x 3 = la manifestation de la trinité, l’accomplissement, la fin d’un cycle et naissance de la treizième octave). Il est amusant de constater que le centre du corps humain, le tronc, possède douze paires de côtes pour le protéger ; la colonne vertébrale de l’homme se compose également de cinq vertèbres lombaires, douze vertèbres dorsales et sept vertèbres cervicales (5 + 7 = 12 ; l’Homme spirituel accèdent aux secrets de l’Univers). L’Homme pour s’affranchir de ses contraintes matérielles (les lombaires), doit s’unir à l’Univers (les dorsales) pour atteindre sa nature spirituelle (les cervicales). Ce courant ascendant est similaire à la montée de la Kundalini, un terme sanskrit lié au Yoga, qui désigne une puissante énergie spirituelle lovée dans la base de la colonne vertébrale.
Continuons notre merveilleuse traversée du corps humain avec les douze paires de nerfs crâniens descendant de la tête vers le corps. Métaphoriquement nous pourrions dire que le monde de l’esprit (tête) se diffracte en douze rayons (paires de nerfs) pour informer la matière. C’est exactement ce que fait la lumière blanche quand elle traverse un cristal ou de l’eau en formant un arc-en-ciel de douze couleurs – dont sept vraiment principales : rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo, violet. Lumière et matière sont les deux versants d’une unique réalité, nous disent les enseignements spirituels. Cette pensée peut facilement être dépeinte à travers les douze couleurs de sceau de Salomon. C’est un hexagramme symbolisant l’Homme dans sa dimension matière et sa dimension lumière, le mariage du macrocosme et du microcosme. Il est schématisé par la fusion de deux triangles en opposition, l’un pointant vers le bas et l’autre vers le haut. Ce symbole possède ainsi six sommets et six creux. Le triangle pointant vers le bas symbolise la lumière qui descend dans la matière. Chacun de ses trois sommets est rattaché à l’une des trois couleurs fondamentales, à savoir, le rouge, le bleu et le vert. La synthèse de ces trois couleurs donne du blanc. Ce sont les couleurs utilisées dans toutes nos technologies numériques (télévision, ordinateur, téléphone portable) pour former toute la palette des couleurs connues. Le triangle du bas est composé des trois couleurs complémentaires aux couleurs lumière et que l’on utilise généralement en peinture. Les couleurs jaune (complémentaire du bleu), cyan (complémentaire du rouge), et magenta (complémentaire du vert) forment les couleurs matière car leur mélange donne du noir. Ainsi, par le sceau de Salomon, la lumière descend dans l’obscurité et cette obscurité retourne à la lumière. Ciel et Terre sont enfin réunis signant la fin de la dualité entre ces deux polarités. De la fusion des couleurs lumière et matière naissent les six autres couleurs : écarlate, orange, citron, turquoise, indigo, violet, comme illustré dans le diagramme ci-dessous.
Dominique Bourdin – Centre de Bien-être La Chrysalide
Nous pourrions résumer ce diagramme par la phrase synthétique de Dominique Bourdin : « L’être humain est issu de la lumière et retourne à la lumière après s’être incarné pour expérimenter la matière et l’illuminer ». L’homme doit, en lui-même, unir son masculin et son féminin pour réaliser cette alchimie.
Il est curieux de constater l’analogie entre les couleurs et les sons. En théorie musicale, la gamme chromatique (terme relatif aux couleurs) est composée de douze notes. Au travers de ces descriptions, percevons à quel point l’Univers se confond dans une merveilleuse symphonie lumineuse. Ainsi, les maux de l’Homme correspondraient à de multiples fausses notes. Grâce à cette conception vibratoire, il devient naturel de comprendre que les thérapies basées sur la lumière et les sons pourraient favoriser le retour à la santé d’origine. Nous pouvons continuer aussi à évoquer le nombre douze à travers les douze arêtes centrales du cuboctaèdre de Richard Buckminster Fuller – appelé aussi le vecteur « équilibrium ». Il s’agit de la seule géométrie dans laquelle tous les vecteurs ont des proportions égales et génèrent un équilibre parfait.
1- Les 12 vecteurs du cuboctaèdre ; 2- Modèle cosmométrique unifié – Marshall Lefferts
Le physicien Nassim Haramein évoque cette géométrie comme fondamentale dans la structure de l’espace. La vecteur équilibrium dans sa forme dynamique donne naissance à une géométrie en forme de Tore. De nombreux systèmes cosmologiques, comme les galaxies, possèdent cette géométrie.
Figure 1. L’univers en treillis, les topologies de Haramein. Modèle schématique de la membrane topologique toroïdale de N. Haramein d’un trou noir dual et de sa singularité dans un champ cuboctaédrique. Haramein, N., Rauscher, E.A., and Hyson, M. (2008). Scale unification: a universal scaling law. Proceedings of the Unified Theories Conference.
Sur un plan en deux dimensions, le Tore peut être reproduit par un tracé de douze cercles, identique au procédé de construction de la Graine de vie (consulter au besoin : La philosophie de DodékâAIMES : « Une alchimie en Science et Spiritualité »). Douze intersections, formant douze rayons, émanent du cercle central.
1- Exemple de Tore en vue de dessus en deux dimension (12 cercles répartis uniformément sur un cercle central). 2- Ici une animation en en trois dimensions du Tore montrant la dynamique des 12 rayons (vue frontale et de dessus).
Récemment le physicien Philippe Guillemant nous explique qu’il existerait vraisemblablement douze dimensions d’espace-temps pour décrire une théorie de l’univers cyclique. Bref, il n’est pas question ici de développer plus en profondeur ces sujets car ils mériteraient tous d’être plus longuement discutés dans de prochains articles. Je vous donne rendez-vous pour la troisième partie de cette présentation où nous évoquerons les cinq principes de DodékâAIMES.
>> Suite (partie 3) : Les cinq principes de DodékâAIMES
AUTEUR : Frédéric Broussard
Fondateur
Références bibliograhiques :
Bouquet Alain – Gravitation quantique : http://evelyne.bouquet.free.fr/WebAlain/particules/910_gravitation.htm
Cardinaux Stéphane – Géométries Sacrées, tome 1 – Éditions Trajectoire (2009)
Cardinaux Stéphane – Géométries Sacrées, tome 2 – Éditions Trajectoire (2006)
Cardinaux Stéphane – Bioénergie – Éditions Trajectoire (2009)
Coquelle Dominique – Les tracés d’or – Éditions Trajectoire (2011)
Haramein, N., Rauscher, E.A., and Hyson, M. (2008). Scale unification: a universal scaling law. Proceedings of the Unified Theories Conference.
Haramein Nassim – l’Univers décodé ou la théorie de l’unification – Louise Courteau éditrice (2012)
Livio Mario – Dieu est-il mathématicien ? – Éditions Odile Jacob (2016)
Mallasz Gitta – Dialogue avec l’ange : « les quatres messagers » – Editions Aubier Montaigne (1976) p.82
Mariaud Philippe : La géométrie sacrée : https://amarudi.com/ ; https://www.youtube.com/watch?v=2nhOZg74xt4
Melchizédek Drunvalo – L’ancien secret de la Fleur de vie, tome 1 – Éditions Ariane (2001)
Melchizédek Drunvalo – L’ancien secret de la Fleur de vie, tome 2 – Éditions Ariane (2001)
Penrose Roger – Prix Nobel de physique 2020 : https://www.pourlascience.fr/sd/astrophysique/le-prix-nobel-de-physique-2020-honore-des-travaux-sur-les-trous-noirs-20220.php
Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fleur_de_vie
Vortex animé : https://www.youtube.com/watch?v=6JbeK20CzTk&list=WL&index=57